Présente depuis dix jours au Panama pour les Journées Mondiales de la Jeunesse, Eugénie Paris a l’impression d’être « comme dans un rêve ». Elle raconte qu’elle a été très impressionnée par la forme de désorganisation organisée des Panaméens, « on voit que leur paroisse ont une capacité à fédérer, des petites unités fraternelles qui permettent de fédérer comme une famille ». «Ces communautés vivent sans prêtre, avec un responsable laïc, alors qu’en France on est parfois incapable de faire ça, et ça me marque beaucoup dans ma vie de foi ».